Devenir notre ami ?

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J'ouvris subitement les yeux et mes rêves utopiques s'évaporèrent dans l'air frais du matin ... Je fus surprise de retrouver la fenêtre de ma chambre grande ouverte et les volets à moitié fermés ... Je ne me souvenais pas très bien ce qui s'était passé la veille et pourquoi tout était encore ouvert ... En me regardant, je vis que j'étais encore toute habillée et que mes cheveux sentaient la cigarette. J'étais poursuivie par cette odeur atroce et je me sentais sale et fatiguée ... Du coup, je regardai l'heure sur mon horloge et remarquai qu'il était déjà sept heures et quart ... Je soupirai, mais n'avais pas bien eu le temps de le souffler parce que je savais que je n'avais plus beaucoup de temps pour me préparer à aller en cours.

Je courus donc la salle de bain, me déshabillai, jetai mes vêtements à l'odeur de cigarettes dans la corbeille à vêtements sales et entrai dans la douche. Je mis en marche l'eau chaude, me mouillai, mis du savon sur mon corps, me rinçai et sortis au bout de cinq minutes. J'avais battu mon record. Je mis un peignoir sur ma peau humide et sortis de la chambre sur la pointe des pieds pour éviter de mouiller tout le parquet de ma chambre. J'ouvris l'armoire où tous mes vêtements étaient rangés par thème et j'attrapai un jean bleu foncé, un bustier mauve et revêtis le tout en un rien de temps. Je mis mes bottes par dessus mon jean, mis un sautoir violet autour de mon cou, des boucles d'oreille au hasard, un bracelet qu'Alexander m'avait offert, la montre de ma mère, et je partis en courant dans toute la pièce, à la recherche de mes affaires de cours ...

C'est à ce moment là que je me souvins de ce qui s'était passé la veille et pourquoi je m'étais levée aussi tard aujourd'hui avec une odeur atroce d'herbes. Hier soir, je m'étais installée à la table du salon pour travailler au calme sur ma dissertation de sciences humaines. Je devais la rendre pour demain et il me restait à la relire et à l'imprimer ... Soudain, Alexander était arrivé, tout sourire, une cigarette à la main et m'avait embrassé la bouche plein de fumée. J'avais été dégoutée sur le moment, et l'avais envoyé promené, mais il s'était bien moqué de moi et il était resté à côté de moi en me soufflant des bouffées de sa cigarette sur le visage. Rien qu'à y penser j'en avais des frissons. Du coup, il avait fini complètement dans les vapes et involontairement il supprima tout mon devoir. Je dus chercher la copie pendant deux heures, et finir par abandonner et commencer un nouveau devoir ... Je ne sais pas jusqu'à quelle heure j'ai travaillé, ni comment je suis arrivée dans ma chambre, mais j'espérais retrouver mon devoir quelque part dans la résidence et qui plus est, en un morceau.

Finalement, je retrouvai ma copie au fond d'un tiroir. J'avais fait le devoir depuis un mois déjà et bien heureusement je n'avais pas eu de modifications à faire ... Par contre, je n'ai pas pu l'imprimer, et j'espérais que le professeur ne m'en voudrait pas. Je glissai le CD dans mon sac, mes livres et mon cahier de notes de la même façon, jetai tout ce qui me restait dans les poches latérales de mon Dior et partis de la résidence en attrapant ma veste en cuir noir.

J'arrivai au réfectoire vers huit heures. Il ne me restait que cinq minutes avant de rejoindre les salles de cours. Du coup, je pris un croissant que je mis dans du papier et bus sans plus attendre une grande tasse de café amer et un verre de jus d'orange. Je rejoignis au pas de course l'amphithéâtre et la journée commença comme un train train habituel ...

Aux environs de midi, j'arrivai au réfectoire en souffrant au ventre. Mon estomac se tordait et j'avais comme une sensation de nausée. Je ne sais pas trop ce qui m'arrivait mais je mourrai de faim. Je rejoignis donc la longue file d'attente, un plateau à la main et attendis mon tour. Finalement, quand ce fut à moi, je pris tout ce qui me plut, et partis vers les tables libres. Je m'assis, dévorai mon repas sans prendre le temps de savourer quoi que ce soit et finis mon plateau en un rien de temps. Je pensais que je me sentirai mieux, mais c'était encore pire.

Je rentrai à la résidence avec difficulté, et avant même de pouvoir refermer la porte de la maison, je dus courir à la salle de bain et vomir tout ce que j'avais ingurgité. Je restai toute l'après midi, seule dans mon lit, à me reposer. Je n'avais bien heureusement pas cours cet après-midi là, comme toutes les semaines mais d'habitude, je partais à la salle de chant que je réservai pour deux heures et puis après, j'avais une répétition avec le groupe de théâtre pour les accompagner dans leur spectacle de fin d'années.

Vers seize heures, je me sentais beaucoup mieux mais j'avais faim. Du coup, je rejoignis la cuisine, pris un paquet de biscuit et allai m'asseoir sur le canapé. Je partis dans des pensées profondes tout en grignotant. Soudain, dans mon regard perdu, j'aperçus ma guitare et eus une soudaine envie de jouer. La salle de chant m'était encore réservée pour une heure et après j'avais deux à trois heures de répétition. Je soupirai, puis, pris la décision de me rendre à la salle de musique pour oublier ma sale journée et me soigner de mes maux.

Je partis de la résidence que je fermai à clef, ma guitare dans le dos, mon sac à la main et un sourire aux lèvres. Je pensais pouvoir arriver à la salle de musique en moins de cinq minutes, vu qu'elle était à proximité, mais je me fis arrêter, à tour de rôle, par toutes mes amies. D'abord Bliss, puis Reese, Sugar, ainsi que tous les autres. Les paroles fusaient de partout.


« Ça ... tu ... va ? ... me semble ... tu veux ... fatiguée ... quelque chose ... »


J'étais perdue dans tous ces mots. Mais finalement, la conversation devint plus facile et je dus parler avec eu pendant une dizaine de minutes, elles voulaient toute m'aider, mais moi, je voulais simplement partir. Quand j'arrivai à The fanny peabody mason music building, ma montre affichait dix-sept heures cinq. J'avais pris plus de temps que prévu. Je courus donc dans les couloirs du hall et arrivai dans la salle de représentation où la répétition avait sûrement déjà commencé. Je savais que les réalisateurs et metteurs en scène du spectacle ne seraient pas content, mais ce n'était pas de ma faute. Je courus tellement vite que je ne vis pas que quelqu'un était dans les escaliers et je me cognais à lui. Mes mains s'interposèrent entre ma tête et le sol, alors que ma guitare que je tenais de l'autre main s'effondrait sur le sol. Je fus tellement surprise par ce coup que je restais au sol pendant quelques instants sans relever la tête. Finalement, restant la tête basse, je ramassai ma guitare, mon sac et m'excusai en même temps à la personne que j'avais cogné =


« Je suis vraiment vraiment désolée ... Je ne t'avais pas vu ... »


J'époussetai mon pantalon, mais n'avais pas encore relevé mon visage vers le destinataire de mes paroles. Quand finalement je le fis, je fus surprise de voir devant moi le visage timide de William. Il se sentait tellement gêné, et à mon tour, je me sentis toute chose, ne sachant plus quoi dire ...

Harry Potter fait sa rentrée en septième année à Poudlard. Il pensait que les heures sombres étaient derrière lui, il pensait ne plus avoir à se battre contre les forces du mal, il pensait pouvoir enfin vivre et non seulement survivre. L’été qui vient de s’écouler s’achève sur des heures noires et pourtant pleines d’espoir. Voldemort n’est plus, le plus grand sorcier qui n’a jamais existé l’a vaincu dans un terrible duel. Ils ont passé des jours et des nuits à se combattre sans que jamais aucun des deux ne prennent un réel avantage. La 3ème nuit, juste après le coucher du soleil, Albus Dumbledore lança un dernier sort mortel à son adversaire. Celui-ci avant de s’écrouler pour toujours usa une ultime fois du sort qui l’a rendu si célèbre : l’Avada Kedavra. C’est ainsi que disparurent Albus Dumbledore et Lord Voldemort. Le seigneur des Ténèbres était enfin vaincu, pourtant, tout le pays entama son deuil.
Dans ce malheur, quelqu’un a tiré son épingle du jeu - Severus Rogue - le sorcier dont tout le monde a toujours douté, excepté Dumbledore en personne. Un peu avant la mort de celui-ci, Rogue dévoile enfin son vrai visage. Il tente de protéger les élèves, leur permettant de s’échapper du château lors d’une attaque de mangemorts, et mettra en sa vie en danger pour protéger les élèves. En tout cas, c’est-ce qui se raconte, parce qu’aucun témoin n’a jamais confirmé cet événement lors de la grande bataille. Beaucoup pense, qu’il a simplement monté un plan afin de pouvoir faire pencher la balance de son côté selon le vainqueur du duel entre le Seigneur des Ténèbres et Albus Dumbledore. A la mort des deux sorciers, Severus Rogue est devenu un héros, le temps d’une demi seconde. Il a été nommé directeur de Poudlard, malgré les pertes qui ont pu être dénombrées tant du côté des élèves que des professeurs.
Seulement quelques jours avant la rentrée, un nouvel ennemi fait surface. Bellatrix Lestrange, ex-amante de Severus Rogue, a décidé de prendre la relève du Seigneur des Ténèbres. Bellatrix sait se montrer cruelle, plus que son mentor d’autre fois. Dans toute l’Angleterre, on dénombre de nombreuses disparitions. Une rumeur enfle, Bellatrix aurait pour but de conquérir le monde, et pour cela, elle serait parvenu à rassembler une armée composée de personnes dotées de pouvoirs spéciaux, encore inconnus jusque là. Severus Rogue, se donne pour mission de reprendre le flambeau de l’ancien directeur, il veut abattre Bellatrix, et malgré les nouveaux idéaux qu’il prêche, très peu lui font une confiance aveugle. Quoi de plus normal, avec la réputation que le nouveau directeur de Poudlard se traine? Tous doute! Est-ce une ruse? Les a-t-il tous manipulé? La façon dont il a annoncé le clan qu’il soutenait reste sombre, entouré de mystères et de questions qui restent pour le moment sans réponse. Pourtant, le ministère n’ose pas montrer directement les doutes qui entourent la révélation de l’ex mangemort. A l’inverse, il le soutien, la preuve étant que Severus Rogue a été nommé directeur de Poudlard.
Dans le château, des clans s’organisent : il y a ceux qui pensent que depuis le début Rogue est un traite, son but étant de prendre le pouvoir ; ceux qui sont pour Bella et souhaite la disparition des sangs de bourbe ; et enfin ceux qui ont envie de faire confiance à Rogue, pour eux, il a toujours était un espion pour Dumbledore. Sous cette nouvelle ère qui promet des heures bien sombres, les amitiés, les histoires d’amour et les haines s’entrecroisent. Il faut choisir son camp.
Même le trio le plus célèbre de l’histoire de Poudlard se déchire. Harry est persuadé que Rogue manipule tous le monde afin de réaliser de plus sombres desseins; Hermione quand à elle pense qu’il a toujours été bon, et Ron ne sait pas quel côté choisir, il essaie simplement de ressouder l’amitié qui les liait tout les trois coûte que coûte. Chaque élève doit à la fois faire face aux idées différentes qui hantent le château sur le nouveau directeur, mais aussi à la nouvelle menace qui s’abat sur le monde des sorciers, Bellatrix Lestrange ; tout en vivant leur adolescence et tout ce qu’elle entraine.

La vie : un bien grand mot qu’on emplois souvent sans trop savoir pourquoi. Cela signifie qu’on est vivant pas forcement qu’on tient à la vie c’est vraiment une notion très vague. Parfois on a l’impression que la vie nous sourit, une bien drôle expression, c’est vrai que parfois tout est rose on flotte sur un petit nuage, on réussit tout ! Que ce soit sur le plan personnel avec les amis, les amours et la famille et sur le plan plus scolaire avec les études et parfois y’a des jours ou la vie nous parait noirs et triste. Tout va de travers, rien ne se passe comme prévue, rien nous sourit, et plus on y pense, plus on se met tout le monde à dos ce qui est une très mauvaise erreur. Et il reste encore des milliers d’autres solution mais celle qui fait le plus mal c’est quand on croit que tout va bien et qu’on apprend une nouvelle que l’on prend en pleine figure et qu’on tombe de haut. En une minute on passe du rire au pleure et là à ce moment là on a la sensation que notre vie s’écroule et que tout le château de carte qu’on avait mit dans de temps à construire en un coup de vent, en une seconde il s’effondre.

Amber fut vexé que sa visite surprise qui d’ailleurs n’était pas vraiment surprise car elle non plus n’avait pas du tout prévue de venir le voir, en plus elle ne s’attendait pas à le croisé à une heure pareil. C’étais tout à fait inattendu, après tout elle se souvint qu’ils devaient passées une partie de l’après midi le lendemain mais bon passons ce ne sont que des petits détails sans trop d’importance. Bref elle fut vraiment déçu de la réaction Drago, bon d’accord elle ne s’attendait pas non plus à ce qu’elle soit reçu à bras ouvert mais quand même un simple baiser aurait suffit à la rassuré. La elle se sent mal à l’aise, elle ne sait du coup pas quoi lui répondre, elle ne sait pas si elle doit être méchante ou bien resté gentille et agréable car après tout il pourrait au moins sourire et montré un peu plus d’intérêt après tout il sorte ensemble, elle n’a pas besoin de prendre un rendez vous pour le voir. Elle décida de le faire avec un peu d’humour tout en montrant qu’elle était vexé de toute façon cela se voyait sur son visage, elle avait été tellement surprise qu’elle n’avait pas prit soin de masqués ses propres émotions.

« Ah bon ? Bah écoute déjà la prochaine fois quand tu veux rester seul va dans un endroit plus isolé car quelqu’un qui vole à cette heure là, cela intrigue les gens curieux comme moi qui s’approche pour voir de plus près ! Je n’ais rien de spécial à te dire, j’avais juste envie de passée du temps avec toi mais si maintenant faut que je me justifie dès qu’on se voit … »

La curiosité est un vilain défaut sauf pour les gens qui sont curieux ! Quand Drago proposa de retourner poser les deux pieds sur terre, elle ne refusa pas du tout, bien au contraire, elle sautait de joie … au sens figuré bien entendu. Mais lorsqu’il annonça qu’il avait des choses à lui dire, elle ne savait pas trop comment le prendre. En général quand un garçon commence par faut qu’on parle c’est souvent suivie de larme de la part de la fille car elle ne s’attendait pas à ce qu’il y ait une rupture. Pour le moment, elle garda le sourire, après tout on ne sait jamais peut-être que ce n’est pas du tout pour cela qu’il a dit cette phrase, peut être pour annoncé une autre nouvelle. Amber à toujours le cœur remplit d’espoir même si parfois elle devrait plutôt affronter directement la vie en face que de resté dans ses pensées. Une fois sur terre, elle retrouva son teint si lumineux. Elle déposa le balai, son sourire revint mais d’une manière très discrète. Elle n’osait pas ouvrir la bouche, pour une fois elle choisit de garder le silence. Elle aurait très bien pu détourner la conversation, en racontant des ragots qu’elle avait entendus ses derniers jours, il y a tellement de bruit de couloirs qui circulent que ça en devient presque très amusant. Elle savait que Drago n’était pas fan et s’en fichait largement de tout ce que l’on entendait. Pour une fois, elle décida de s’abstenir, de se taire et de le suivre bêtement.

La nuit qui était quasiment tombé, le temps c’étais vraiment rafraîchit. C’est dans ces moments là qu’on serait content si on aurait prit un pull supplémentaire. Les minutes qui suivirent semblait interminable et quand Drago parla enfin, une fois qu’il était assit confortablement dans les gradins, c’étais comme si tout autour d’elle tout s’était figés, elle n’entendait plus le bruit des feuilles virevoltées dans les airs, ni le bruit des branches des arbres frémirent, elle entendait juste comme un écho de la voix de Drago qui résonnait dans sa tête, ce qui devait arrivée, arriva il était en train de rompre. Au fond d’elle, Amber savait que de toute façon un jour ou l’autre cela allait arrivée, il était bien différent sur de nombreux point, mais quand même lorsque cela vous tombe dessus cela fait très mal surtout quand tout allait si bien. Et dans ce genre de situation, il y a un mélange de tristesse et de colère contre la personne mais surtout contre soit. On se sent stupide d’avoir voulu y croire, d’avoir fondé tout nos espoirs sur cette personne mais quand celle-ci décidé de partir et bien vous vous retrouvez seul, vous avez beau pleuré et déversé toute les larmes de votre corps, vous serez toujours seule. Quand on mise tellement sur notre couple, on oublis parfois quelques uns de nos amis ou bien on les écoute pas quand il nous mette en garde, on n’a pas envie de les croire car on ne veut pas redescendre, on est bien on est heureux et on aimerait que les autres le soit aussi pour nous et pas qu’il nous mette en garde ou qu’il nous fasse la moral.

Elle essayait de détourné le regard, de trouver les mots pour pouvoir lui répondre. La colère était un sentiment qui venait facilement et qui justifiait souvent car s’énervé sur une personne c’est très facile car on cherche à la faire culpabilisé, à l’a faire changé d’avis en lui donnant un bon nombre d’argument quand on rajoute des larmes et qu’on s’effondre dans ses bras, on cherche avant tout du réconfort mais on espère surtout que les choses vont changé, que la personne va nous dire que ce n’étais qu’une mauvaise blague, qu’on est très bien ensemble et que ça va le resté. On a certes des défauts et on va tenter de les masqués mais on va surtout tout faire pour ne pas laissé partir la personne, car si on ne s’y accroche pas qui sait si un jour elle reviendra ? Elle prit une grande respiration pour le regarder dans les yeux et lui répondre :

« Comment ça ce n’était pas sérieux entre nous ? Tu entends quoi par cela ? Tu t’ais servie de moi ? J’étais quoi un jouet pour toi ? Ou bien pire encore tu avais pris un pauvre pari avec ta bande d’ami ?»

Elle avait tenté d’être gentille mais finalement la colère avait prit le dessus. L’émotion était trop intense, la douleur énorme car elle ne voulait pas entendre la suite, elle savait ce que allait être la suite. Elle savait aussi que peut être elle regretteraiT ses mots qui n’était pas justifiés, elle avait grandement exagéré les choses si ça n’avait été qu’un pari, ils n’auraient pas cette conversation, il se serait contenté d’un vulgaire message ou pire encore juste dit ça quand il se croiserait dans les couloirs.

Quand Drago dit : «Ce que je vais te dire, je vais peut-être le regretter plus tard, mais tu es une fille bien Brooke. Le fait que j'ai cette conversation avec toi pourrait te confirmer que je le pense vraiment. ». L’émotion était à son apogée, la colère s’apaisa pour laissa place à une fille qui était triste car finalement elle était vraiment très heureuse, elle adorait ce bonheur et elle ne voulait pas qu’il se termine. Les larmes coulèrent sur ces joues, elle ne pouvait les retenir, elle était bien trop sensible pour ça et on dit toujours que pleurer ça fait du bien, après quand on pleure un bon coup ça va mieux et on retrouve doucement le sourire. Et elle fondit en larmes dans ses bras, elle avait besoin d’être près de lui pour le moment. Pleurer c’étais plus simple que parler. Puis doucement, tout en restant dans ses bras pour le moment, elle trouva le courage de parler calmement.

« Si je suis une fille bien comme tu dis alors pourquoi on a cette conversation ? On était bien tous les deux, on n’est pas obligé que cela s’arrête aujourd’hui. Si ça vient de moi, tu sais je peux faire des efforts. .. »

Amber avait besoin d’une justification de savoir pourquoi ils en restaient là ? C’est vrai quand tout allait bien, enfin du moins c’est ce qu’elle pensait, ça n’allait pas si bien que ça vue qu’il décide de se séparé enfin plutôt Drago a prit sa décision mais elle ne pouvait s’empeché de tenté de le faire changé d’avis, qui tente rien n’a rien, à moins que …. Elle se redressa très rapidement puis le regarda :

« A moins que tu me lâche car y’a une autre fille ??? » C’est souvent pour cette raison que les mecs rompre y’a souvent quelqu’un d’autre. « Non mais c’est vrai si c’est ça dis le moi tout de suite ! J’ai besoin de savoir ! Pourquoi ?? On n’était pas bien tout les deux, on était heureux, on s’entendait si bien … »


Elle voulait une raison, elle cherchait vraiment à comprendre pourquoi il en arrivait là. Quand elle repensait aux moments qu’ils avaient partagés tout les deux c’étais à la fois amusant car à chaque fois c’étais toujours aussi surprenant et des moments remplit de surprise. Qu’est ce qui s’était passé dans sa tête pour qu’il veuille rompre ?

« Oui j’ai vraiment besoin de savoir, et même si là je t’en veux énormément d’arrêter mon bonheur, car oui j’étais vraiment heureuse avec toi-même si ça peut surprendre certaines personnes je m’en fiche. Et j’ai vraiment besoin que tu m’explique, que tu justifie des actes. Car si c’est pour rompre maintenant pourquoi m’avoir embrassé y’a quelques temps lors du bal de Noël ? »